Stimuler l’entreprenariat c’est améliorer les conditions de vie des villageois indiens
Entreprendre pour diversifier ses revenus et investir dans la santé et l’éducation
Les familles avec qui nous travaillons sont en bas de l’échelle social et économique indienne. L’instabilité alimentaire et financière créent des pressions énormes et obligent de nombreuses personnes à l’exode rural pour trouver du travail dans des villes déjà surpeuplées. Afin de permettre à ces familles de conserver leurs terres, leurs relations et leurs cultures, nous les accompagnons vers le développement de nouvelles sources de revenus. L’agriculture, l’aviculture, la pisciculture, la fabrication d’épices ou de condiments locaux génèrent un revenu supplémentaire et donc plus de sécurité pour investir dans la santé et l’éducation de leurs enfants.
Je permets à un groupe de femmes de développer leur micro-entreprises 50€/mois 17€/mois après déduction fiscale Je donne
Les femmes indiennes et l’entreprenariat : prendre conscience de ses capacités
Durant l’année 2017, nous avons organisé plusieurs formations à destination des femmes des 5 villages du projet Ayur. Ces formations se sont étalées tout au long de l’année et les sujets abordés ont été le leadership, la mobilisation communautaire, la comptabilité, la gestion, l’entreprenariat et le développement de micro-entreprises. Les résultats ne se sont pas fait attendre. Avant l’année écoulée, ces formations avaient déjà donné suffisamment confiance à cinq femmes pour se lancer dans l’entreprenariat.
Les revenus générés furent immédiatement très encourageant. Ces activités sont un facteur d’indépendance financière et professionnelle pour ces femmes. Notre approche globale renforce leurs capacités dans d’autres domaines. Elles sont aujourd’hui mieux informées sur leurs droits et certaines sont suffisamment confiantes pour interpeller les membres du gram pachayat et donner leurs avis. C’est une grande nouveauté pour ces femmes qui n’avaient jusque-là que peu conscience de leur pouvoir décisionnel au sein du village, obéissant aux grandes orientations sans prendre part au processus décisionnel.
Des familles sont obligés de déféquer en plein air créant des risques de contamination des nappes phréatiques et des cours d’eau pendant la mousson.
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